Hébergement pour personnes âgées dépendantes
Bien souvent ce choix s’effectue dans l’urgence après une chute ou une hospitalisation. Il est donc important de connaître les souhaits et les besoins de votre parent. L’état de santé et son degré de dépendance entrent également en ligne de compte. Avec le vieillissement de la population, ce sujet est d’actualité. Il convient d’en parler en famille.
Il faut faire le bon choix entre une résidence autonomie ou vers un établissement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). La résidence autonomie s’adresse aux personnes faiblement dépendantes et est inadaptée aux personnes ayant des troubles cognitifs ou ayant besoin de soins et d’une aide au quotidien.
EPHAD
Qu’est-ce que l’EPHAD ?
Les Ehpad (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) sont des maisons de retraite médicalisées. Il s’agit d’un hébergement pour personnes âgées qui proposent un accueil en chambre et s’adressent à des personnes généralement âgées de plus de 60 ans qui ont besoin d’aide et de soins au quotidien. Les EPHAD sont des établissements pour personnes dépendantes. Ils s’adressent aux personnes seuls, fragiles ou dépendantes. Ils contribuent à préserver l’autonomie de la personne âgée. Un EPHAD propose un service d’hébergement, de restauration, d’animation et de soin.
L’accompagnement en EPHAD
Les personnes âgées résidant en EPHAD et qui ont besoin d’un accompagnement pour le lever, le coucher, la toilette, les repas… sont aidées par le personnel de l’EHPAD. Une équipe de coordination (médecin et infirmière coordinatrice) assure les soins, le suivi médical et la coordination des interventions du médecin traitant et des rendez-vous avec les spécialistes.
Choisir son EPHAD
Le portail de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) met à votre disposition un annuaire des établissements. Chaque établissement met à jour annuellement :
- le prix de la chambre
- le statut de l’Ehpad (public, privé à but lucratif, associatif)
- les aides possibles…
Depuis Juin 2023, la fiche d’établissement donne également le type de chambres disponibles, le nombre de chambres habilitées à l’aide sociale et les équipements de l’établissement (salle de kinésithérapie, balnéothérapie, pharmacie en interne…).
Si vous souhaitez équiper votre proche âgée d’une alarme personnelle pour garder le lien il faut également vous en assurant avant de faire votre choix définitif.
Alzheimer en EHPAD
Les EHPAD disposent de personnels formés et habitués à travailler au contact de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou de maladies apparentées. Ces professionnels savent réagir de façon appropriée face aux situations que peut engendrer la maladie. Les unités Alzheimer sont généralement des services de petite taille situés au sein d’un EHPAD, d’une capacité d’accueil de 10 à 20 résidents dont les chambres sont réparties autour d’une salle commune qui permet de partager les repas et les activités collectives.
L’EPHAD est l’hébergement pour personne âgée le plus connu mais il existe des alternatives pour les personnes âgées qui veulent rester à la maison.
USLD
Les USLD (unités de soins de longue durée) sont des structures d’hébergement et de soins accueillant des personnes âgées dont l’état nécessite une surveillance médicale constante. Elles sont généralement adossées à un établissement hospitalier. Il s’agit d’un hébergement pour personnes âgées dont le fonctionnement est proche de celui de l’EPHAD : l’établissement s’occupe de la vie quotidienne et de la coordination des soins de la personne âgée.
Résidence autonomie
Les résidences autonomie sont conçues pour accueillir des personnes âgées majoritairement autonomes qui ne peuvent plus ou n’ont plus l’envie de vivre chez elles (à cause d’une baisse de revenus, de difficultés d’accès aux commerces, d’un sentiment d’isolement…). Elles accueillent en moyenne une cinquantaine de résidents.Les résidences autonomie sont des ensembles de logements pour les personnes âgées associés à des services collectifs. Il s’agit d’un hébergement pour personnes âgées, souvent construites à proximité des commerces, des transports et des services. Elles sont majoritairement gérées par des structures publiques ou à but non lucratif. Le coût du logement y est modéré. La personne est autonome et il arrive que certaines personnes âgées s’égarent ou se perdent. Il est également possible que la personne âgée chute lors d’une promenade. Il convient alors d’envisager de l’équiper d’un système de sécurité autonome.
Lieu d’emplacement de l’hébergement pour personnes âgées
Que le choix de l’hébergement pour personnes âgées se porte sur un EPHAD, un USLD ou encore une résidence autonomie, il convient de prendre en compte son lieu d’implantation :
- proche de son ancien domicile, cela permet de conserver ses habitudes, lieu de promenade, commerçants, amis, …
- proche de la famille cela permet de recevoir plus facilement leur visite
Dans tous les cas, il convient de s’attacher à vérifier les possibilités de transports en commun, stationnement pour les visiteurs, possibilité de faire ses courses, possibilité de promenade, accessibilité au jardins ou forêts.
Garder le contact avec ses proches
Quelque soit l’hébergement pour personnes âgées qui est retenu par la personne et sa famille, il est possible de garder le contact avec ses proches :
- pour une personne âgée en résidence autonomie qui sort seule ou pour une personne Alzheimer qui risque de s’égarer, un Bracelet anti chute autonome permet de donner l’alerte et d’être localisée de façon instantanée et le dialogue entre l’aidant et la personne âgée
- pour une personne qui reste dans sa chambre ou qui reste dans le jardin ou aux alentours, un Bracelet anti chute automatique permet de donner l’alerte même si la personne a perdu connaissance
- pour un personne alitée ou qui reste seule avec des risque de chute mais qui ne veut par porter d’équipement de sécurité, une Caméra pour la surveillance senior permet une surveillance discrète et la possibilité d’un échange direct par le micro et haut-parleur intégré dans la caméra
A la maison mais aussi en hébergement pour personnes âgées, il est possible de garder le contact entre la personne âgée et ses proches.
Après mon article sur les risque de chute chez les personnes âgées, il est assez logique que je réagisse aux propos de Jérôme Guedj concernant la population des 75-85 ans qui devrait « doubler dans les 25 ans qui viennent ».
Curieusement, depuis que je suis moi-même entrée officiellement dans la tranche d’âge “personne âgée”, moi qui ai encore de nombreuses années d’activité devant moi, moi qui ai mes deux parents de 85 et 86 ans très actifs, je me sens touchée par cette annonce.
La participation sociale des personnes âgées est un vrai sujet.
En effet, la participation sociale dans le domaine du “bien vieillir” est promue au niveau international depuis le début des années 2000 dans un objectif de prévention et de promotion de la santé. On nous parle du « vieillissement en santé », de la prévention des maladies chroniques, du maintien optimal des fonctionnements cognitif et physique, de l’engagement dans la vie et la participation sociale, ainsi que d’un environnement favorable. Il est aussi question du financement du vieillissement de la population et de l’adaptation de la ville et des transports pour aider et s’adapter aux personnes âgées.
Concernant la prévention des maladies chroniques, je m’engage très personnellement dans cette démarche concernant le diabète et l’obésité. Concernant le maintien à domicile, je sélectionne et je propose des solutions technologiques de qualité pour senior qui reste seul à la maison ainsi que pour senior actif à risque de chute ou de malaise.
Le député socialiste Jérôme Guedj tire la sonnette d’alarme, donc. Il nous alerte sur le sujet du vieillissement en France et souhaite que les parlementaires rédigent un texte pour parvenir à faire adopter une loi grand âge.
Auteur en 2020 d’un rapport sur le vieillissement, Jérôme Guedj argumente : « Mais derrière ça, ce sont des créations d’emplois dans les Ehpad, dans les services à domicile, c’est de l’aménagement du territoire, c’est lutter contre la désertification en milieu rural, accompagner dans les quartiers ». C’est sujets me touche forcément. Pas vous ?
La loi grand âge, promise par Emmanuel Macron au début de son premier quinquennat devrait donner davantage de moyens, revaloriser des métiers et préparer la France à affronter la hausse du nombre de seniors en perte d’autonomie.
Chute chez la personne âgée
La haute autorité de santé insiste particulièrement sur ces risques de chute chez les personnes âgées et leurs conséquences :
- L’âge est un élément important dans ce risque de chute
- L’alimentation a donc un rôle à jouer
- La rapidité d’intervention est clairement primordiale pour réduire ou limiter les risques de complications liés à cette chute
C’est pour cela que sur le site LA VIE DOUCE, les solutions qui sont proposées permettent d’alerter rapidement et directement les proches et les aidants, sans passer par l’intermédiaire d’une société d’assistance :
Pour ce qui est de la consommation de flavonoïdes, le vidal nous dit que “Malgré l’absence de preuves formelles, un apport régulier de flavonoïdes peut être intéressant pour rester en bonne santé.
Mais, avant de recourir à des compléments, cet apport doit provenir d’une alimentation riche en fruits et légumes frais”.
Parmi les fruits qui contiennent des flavonoïdes, les pommes et les baies sont souvent citées pour être consommées quotidiennement, surtout en vieillissant, ainsi que les raisins et les épinards.
Vous souvenez-vous du président Chirac qui disait “Mangez des pommes”…
Alors mangez des pommes et portez un équipement de sécurité pour personne à risque de chute.
Si manger des pommes ne protège pas de chute, ça donne toujours un bon apport nutritionnel.
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Les chutes touchent 2 millions de personnes de 65 ans et plus
Le risque de chute augmente avec l’âge et donc l’importance de s’équiper d’une montre alarme :
- environ 35 % des personnes âgées de 65 à 80 ans chutent chaque année,
- ce taux atteint près de 45 % chez les 80 à 90 ans,
- la prévalence des chutes s’élève même à 55 % chez les personnes âgées de plus de 90 ans.
Les chutes chez les personnes âgées sont responsables d’une mortalité importante et réduire la fragilité d’une personne permet d’agir en prévention pour réduire le risque de chute. Le risque de chute entraine celui pour le senior d’aller aux urgences avec les risques supplémentaires.
La maladie, la prise de médicaments et l’environnement de la personne âgée contribuent au risque de chute après 65 ans. Le maintien à domicile d’une personne âgée rend cette réflexion encore plus importante.
Dans l’article sur le programme gouvernemental pour la réduction du risque de chute chez les seniors il est fait référence à 100 000 hospitalisations et 10 000 décès par an en France. Le sujet est sérieux. Mais il y a des alternatives aux EPHAD pour garder les seniors en sécurtié.
Avec l’âge il est important de limiter les risques de tomber dans l’appartement ou la maison, en restant vigilant :
- libérer les lieux de passage
- améliorer les éclairages
- éviter les sols glissants
- rendre les objets plus accessible, éviter de les placer en hauteur
- renforcer les points d’appui
Prendre des précautions pour ne pas tomber
C’est dans sa vis quotidienne qu’il est le plus possible de changer ses habitudes pour ne pas tomber. Par exemple se lever en prenant de bons appuis, se lever doucement pour éviter un malaise, vérifier son équilibre, utiliser une canne ou une barre de maintien.
Le soin porté à son corps est également important : faire attention à ses pieds, être bien chaussé, entretenir sa musculature permet de réduire les risques de chute.
Les aides sont nombreuses qui permettent à une personne âgée de se faire aider dans certaines tâches qui présentent plus de risque de chute. Regardez notre article sur les montres alarmes sans abonnement ainsi que les solution de camera de surveillance personne âgée.
Risques de chute chez les personnes âgées
L’expérience montre qu’une personne âgée qui est équipée présente mois de tension et de stress et donc moins de risques de chute.
D’après la Haute Autorité de Santé, “le vieillissement est un processus physiologique continu très hétérogène, variable selon les individus. Le risque de chute n’est pas en rapport avec l’âge chronologique… les capacités d’adaptation au risque déclinent régulièrement avec l’avancée en âge, de la personne âgée active et dynamique à la personne âgée dépendante… De nombreux facteurs … peuvent favoriser la chute.”
Deux situations où la prévalence des chutes est importante et où elles occasionnent une forte morbi-mortalité :
- La personne âgée fragile a une réduction de ses capacités d’adaptation qui ne lui permet plus de faire face à des perturbations externes mineures. Toute chute, outre sa gravité immédiate, lui fait courir un risque majeur de perte d’autonomie et de désinsertion sociale, avec pour conséquence éventuelle l’institutionnalisation.
- La personne âgée dépendante vivant en institution a un risque de chute particulièrement élevé, aux conséquences graves. Ces chutes, généralement multifactorielles, sont avant tout marqueurs de mauvais état de santé. Elles sont la conséquence de l’affaiblissement général, des démences ou d’autres (poly)pathologies, des polymédications, parfois des contentions.
Il est donc évident que la rapidité d’intervention est très importante pour la suite de la vie de la personne âgée. Il appartient à la famille et aux proches de s’interroger sur le choix des solutions de sécurité.
Réduire le risque de chutes chez les seniors. Il n’est plus nécessaire de rappeler qu’en France les chutes des seniors représentent la première cause de mortalité avec 100 000 hospitalisations et près de 10 000 décès par an. Il est donc important de s’attacher à en réduire le nombre et leur conséquences. Je reviens aujourd’hui sur cette information concernant le programme proposé par la Mutualité Française Nouvelle-Aquitaine.
Ateliers pour réduire les risques de chute
Le programme « P’Art à Chute » permet d’aider les seniors à comprendre l’effet du vieillissement sur l’équilibre. Il agissent à différents niveaux :
- impact de l’audition sur l’équilibre
- rôle de la vue sur l’équilibre
- importance de l’alimentation sur l’équilibre
- bénéfices du mouvement et de la coordination pour réduire la chute
Le fait est que sans doute le plus important est : être conscient que le risque de chute est un vrai sujet.
Les chutes du senior à la maison
Les causes de chute ne peuvent pas être totalement supprimer mais elles peuvent être réduite. Dans son logement, la personne âgée peut trouver des difficultés pour se déplacer, soit par manque d’éclairage, soit parce que les pièces peuvent être trop encombrées. Il convient de traiter le logement d’une personne âgée comme celui d’une personne mal voyante : une place pour chaque chose et chaque chose à sa place avec des objets accessibles et des passages bien dégagés.
Les habitudes de vie du senior se sont installées petit à petit et il est du rôle de l’aidant, du proche et de la famille d’aider la personne âgée dans son acceptation qu’il est nécessaire d’adapter son intérieur. Une personne âgée n’aime généralement pas changer ses habitudes et s’attache à ses repères, il faut surtout lui faciliter la vie : mettre à sa portée les objets dont elle a besoin et dégager les accès. Changer les ampoules ou les types de lampes peut être également très positif.
Ce sujet rejoint bien sûr les articles sur la loi grand âge et vieillissement de la population ainsi que celui sur la fragilité et le risque de chute ou encore celui sur les alternatives aux EPHAD.
Equilibre et santé physique : “manger bouger”
Chez une personne âgée comme chez une personne encore en activité mais avec une vie trop sédentaire, peu à peu les mouvement deviennent moins fréquents et de plus petite ampleur. Ainsi, la force physique baisse doucement et l’équilibre se perd.
L’aliment est le plus sain des médicaments
L’alimentation joue bien sûr un rôle tellement important sur l’état physique. L’alimentation équilibrée joue également sur la réduction de risques de vertige et de malaise.
C’est dans ce sens que le ministère des Solidarités et de la santé a lancé un plan national. Il est assez terrible de lire : les chutes ont un coût pour la collectivité : 2 milliards d’euros dont 1,5 milliard pour la seule Assurance maladie. Mais c’est un fait et c’est sans doute une nécessité pour faire bouger la collectivité.
Après 65 ans, toute activité est bénéfique pour la santé
Une étude menée pendant 18 ans par des chercheurs du CHU de Saint-Étienne et de l’Inserm sur près d’un millier de personnes âgées volontaires de plus de 65 ans montre que les seniors ayant une activité physique équivalente à une heure et demie de marche quotidienne réduisent leur mortalité de 30 %.
Encore plus de bénéfices pour les femmes, les diabétiques et les hypertendus : 550 personnes encore vivantes et toujours suivies, parmi les 1 101 initialement recrutées.
« Chez les femmes et les personnes qui souffrent d’hypertension ou de diabète de type 2, le bénéfice était encore plus important, puisque le taux de décès dans ces sous-groupes était 83 % inférieur à celui des personnes qui n’atteignaient pas ce niveau d’activité. »
Plan antichute des personnes âgées
Publié le 21/02/2022 le texte nous parle de ce plan qui a pour but de réduire de 20% les chutes mortelles ou invalidantes des personnes de 65 ans et plus d’ici 2024.
Il s’agit de mieux repérer les risques qu’ils soient lié au logement ou à la personne elle-même. D’aménager le logement de la personne âgée et de lui permettre de sortir en toute sécurité.
Le plan inclue des aides techniques à la mobilité, incite au développement de l’activité physique de la personne âgée et à son équipement d’une assistance à distance permettant d’agir au plus vite.
Repérer les risques de chute
Les 5 points mis en avant sont :
- L’inactivité physique
- La peur de la chute
- La dénutrition
- La baisse de la vue et de l’audition
- Les risques lié au logement lui-même
Chacun de ces facteurs augmente le risque de chute chez la personne.
Le profil des personnes à risque de chute : les “chuteurs”
Le ministère des Solidarités et de la santé identifie que 80% des chutes concernent :
- 30% de personnes non fragiles, autonomes et qui chutent sans prendre de risque particulier
- 50% de personnes fragile, nécessitant de l’aide et chutant lors d’une action à faible intensité
Cela prête à réflexion. En effet, autant dire que nous sommes tous concernés.
Réduire le risque de chutes chez les seniors
Avec le vieillissement de la population augmente les chutes des personnes âgées ont de graves conséquences dans la vie de nos aînés entraînant chaque année plus de 130 000 hospitalisations et plus de 10 000 décès.
Avec plus de 2 millions de chutes chaque année chez les plus de 65 ans, les chutes représentent la première cause de mortalité accidentelle chez cette classe d’âge. Beaucoup pourraient être évitées ou limitées dans leur gravité.
Causes de chute chez les personnes âgées
Selon les petits freres des pauvres, il existe de nombreuses causes de chutes chez les personnes âgées :
- Un environnement inadapté : un domicile encombré (tapis, câbles, meubles imposants…), des sols glissants, un éclairage insuffisant ou encore un chaussage inadapté.
- Un état de santé détérioré : des troubles de l’équilibre, des vertiges, un état de dénutrition, une faiblesse musculaire ou encore une baisse de la vision peuvent affecter l’équilibre et ainsi provoquer des chutes.
- Les effets secondaires des médicaments : certains médicaments peuvent causer des étourdissements, des vertiges ou une faiblesse musculaire ce qui augmente le risque de chute.
- Des comportements inadaptés : une consommation excessive d’alcool, une précipitation lors du lever ou de la marche, des prises de risques… ces situations peuvent aussi favoriser les chutes.
Comment réduire les risques de chutes chez les seniors
Il faut libérer l’espace en débarrassant les meubles encombrants des zones de circulation, faire attention aux câbles et fils électriques, éviter les zones d’ombres dans la maison, bien positionner les lampes et éclairages, éviter les tapis aux bords relevés, les descentes de lit et autres tapis de bain qui peuvent facilement faire trébucher au profit d’articles en matières antidérapantes.
Quelle alternative aux EPHAD pour une personne âgée qui reste seule à la maison ? Si l’on en croit cette affirmation que la population des 75-85 ans qui devrait « doubler dans les 25 ans qui viennent », et comme nous comprenons bien que la majorité des personnes âgées dépendantes souhaitent rester à leur domicile, il semble évident que la prise en charge doit se développer. Cela passe par plus de partage, de convivialité et des solutions de sécurité adaptées aux seniors.
Forte augmentation de la population en perte d’autonomie
L’INSEE nous informe que 4 millions de seniors seraient en perte d’autonomie en 2050. Ca sera certainement mon cas car j’aurais alors 85 ans. Ce texte précise également que en 2015, en France, 15.3% des 60 ans et plus sont en perte d’autonomie.
Pour répondre à cette forte augmentation de perte d’autonomie, il faudrait que le nombre de places d’hébergement permanent en établissement augmente de 20% d’ici 2030 et de 50% d’ici 2050. La question se pose donc de savoir si la politique de répartition de la prise en charge en domicile et EPHAD va changer ?
Dans un proche avenir, la France va devoir choisir entre ouvrir massivement des places en EPHAD ou prendre en compte le besoin de prise en charge à domicile. Il s’agit réellement d’une volonté ou non de politique publique visant à favoriser le maintien à domicile. La question se pose de l’Alternative aux EPHAD pour une personne âgée qui reste seule à la maison.
En 2015, entre 4 et 10% des personnes âgées de 60 ans et plus vivant à domicile sont dépendantes, et cela d’après les résultats de l’enquête CARE réalisée par la DREES.
Privilégier le maintien de la personne âgée à domicile
D’après l’Institut Français des Seniors, 80% des seniors interrogés préfèrent vieillir à la maison plutôt qu’en établissement. Mais ce maintien à domicile du senior nécessite des aménagements du logement pour le rendre plus sécuritaire et réduire les risques de chute. L’enjeu est bien là car ce sont bien les chutes qui sont majoritairement la cause d’entrée en établissement.
Personne âgée qui reste seule à la maison
Le maintien de la personne âgée à domicile passe par l’aménagement du domicile comme évoqué dans notre article “réduire les risques de chute” chez les seniors. L’aménagement du domicile peut être accompagné par des professionnels mais à ce jour, ces solutions ne sont pas prises en charges. Il est d’autant plus important que la fragilité augmente les risques de chute.
Il existe également des programmes tels que le Centres de Ressources Territoriaux (CRT) qui s’inscrit dans la continuité d’un programme baptisé Ehpad « hors-les-murs », qui permet aux personnes âgées dépendantes de bénéficier des offres disponibles en Ehpad (portage de repas, aides ménagères, soins infirmiers, téléassistance…) mais à domicile. Il a pour objectif de permettre aux personnes âgées de rester à domicile et il se positionne comme une alternative au placement en institution.
>> Des équipements tel que le bracelet alarme senior permet de garder un lien direct aidant / senior en cas de chute ou de malaise.
Résidence autonomie
Les résidences autonomies sont également des alternatives au placement en EPHAD. Les logements sont proposés en location avec des loyer allant généralement de 600 à 900€ pour un studio ou un T2. Des aides-soignants sont présents sur place et des animations et des activités, parfois facturées en plus de la redevance de base, sont proposées au sein de la résidence autonomie ou à l’extérieur.
Les personnes âgées en résidence autonomie sont également concernées par le risque de s’égarer ou de chuter lors d’une promenade. Il peut être important de se poser la question de l’équipement de sécurité pour retrouver une personne âgée qui s’égare ou risque de chuter à l’extérieur.
Personne âgée hébergée en famille d’accueil
L’accueil familial est une alternative très intéressante au placement en EPHAD. Les accueillants familiaux accueillent la personne âgée chez eux. Ils lui proposent un accompagnement dans un cadre familial. Ainsi, le senior bénéficie d’une présence aidante et stimulante et d’un accompagnement personnalisé. Cette solution peut être mise en place pour des personnes seules ou en couple. Voir l’article Personne âgée hébergée en famille d’accueil
Collocation étudiant senior en EPHAD
La collocation étudiant et senior réduit l’isolement du senior et la précarité de l’étudiant. L’étudiant trouve un logement dans une chambre dans un EHPAD pour un loyer d’environ 180 euros et consacre 3 heures de bénévolat par semaine. La sélection des étudiants est liée à leur études et leur motivation à créer du lien avec les résidents. Cet hébergement est très intéressant quand on mesure l’importance du vieillissement de la population en particulier quand cela touche la santé et la sécurité des seniors. Voir l’article Collocation étudiant et senior en EPHAD.
Rester à domicile en toute sécurité
La sécurité de la personne âgée
Au delà de l’aménagement du logement et de la mise en place de service tels que la livraison des repas, la mise en place d’activités, de sortie et le maintien de la vie sociale de la personne âgée, sa sécurité reste au coeur des préoccupations. En effet, si la chute et surtout le temps d’intervention est le point de départ à une plus grande perte d’autonomie, voir à la décision d’une installation en établissement, il est donc important que les aidants soient prévenu le plus rapidement possible de la chute.
L’importance de l’alarme pour personne âgée et de pouvoir venir en aide rapidement à la personne âgée en détresse, qu’elle soit à son domicile ou à l’extérieur. Ces dispositifs sont des pendentifs ou des bracelets ou encore de la vidéo surveillance. Nos produits se distinguent par leur fiabilité, leur simplicité d’utilisation et leur excellent rapport qualité / prix.
Personne âgée hébergée en famille d’accueil : L’accueil familial pour une personne âgée est une alternative à l’hébergement en établissement. Il s’agit d’une solution d’hébergement pour une personne âgée qui ne peut ou ne veut plus vivre chez elle. L’accueil familial est soumis à un agrément, délivré par le président du conseil départemental.
Allocation personnalisée d’autonomie l’APA
La personne âgée hébergée en famille d’accueil peut être soutenue financièrement dans sa nouvelle vie et prétendre à plusieurs types d’aides : Allocation personnalisée d’autonomie (APA), aide sociale à l’hébergement (ASH), allocation logement ou encore crédit d’impôt.
L’aide est versée si la personne âgée subit une perte d’autonomie et est âgé d’au moins 60 ans. Si la personne âgée percevait déjà une aide quand elle vivait à domicile, elle continue de la recevoir. Si la personne n’en a jamais fait la demande, celle-ci doit être déposée dans son département d’origine et non celui de l’accueillant. En effet, la personne âgée hébergée à titre onéreux chez un particulier est considérée comme vivant à domicile pour la mise en œuvre de l’APA.
Accueil familial
L’accueil familial est soumis à un agrément délivré par le président du conseil départemental pour une durée de 5 ans.
L’accueil familial peut être une personne seule ou un couple. Les accueillants familiaux reçoivent des personnes âgées chez eux et proposent aux personnes âgées accueillies un accompagnement dans un cadre familial qui leur permet de bénéficier d’une présence aidante et stimulante et d’un accompagnement personnalisé.
Les accueillants familiaux peuvent accueillir des personnes seules ou en couple.
La loi du 28 décembre 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement vise à développer cette solution pour l’accompagnement des seniors pour contribuer à gérer le vieillissement de la population.
Cette solution est une très bonne Alternative aux EPHAD pour une personne âgée qui reste seule à la maison.
Quel est le salaire d’un accueillant familial ?
Lorsque la personne âgée bénéficie de l’aide sociale, la rémunération de l’accueillant familial se répartit en plusieurs indemnités :
- Indemnités journalières pour services rendus
- Indemnité de congés payés (10 % du montant de la rémunération mensuelle)
- Indemnités journalières pour sujétions particulières
- Indemnités de logement représentatives de la (ou des) pièce(s) mise(s) à la disposition de la personne âgée accueillie.
- Indemnités représentatives des frais d’entretien courant de la personne âgée accueillie
Le salaire perçu par un accueillant familial intègre donc plusieurs variables. Le montant de la rémunération reste donc libre et diffère d’une famille d’accueil à l’autre.
En moyenne, le salaire net de l’accueillant familial équivaut seulement à 50% de la somme versée par la personne accueillie. L’accueillant familial agréé doit procéder à ses recherches de personnes âgées voulant adopter ce mode d’hébergement familial. La durée de l’accueil familial de la personne âgée dépend de l’état de santé de la personne.
Contrat d’accueil de la personne âgée
Le contrat d’accueil entre la personne âgée et l’accueillant indique les mentions suivantes :
- Durée de la période d’essai
- Conditions pour modifier le contrat ou y mettre fin
- Durée et rythme de l’accueil de la personne âgée
- Obligations matérielles de l’accueillant
- Droits et obligations de l’accueillant et de la personne âgée
- Obligations des 2 parties de souscrire une assurance
- Conditions financières de l’accueil
- Droits en matière de congés annuels
- Suivi social et médico-social de la personne âgée
Conditions matérielles et sécurité de la personne âgée en accueil familial
La personne accueillie signe avec l’accueillant familial un contrat d’accueil fixant les conditions matérielles, humaines et financières de l’accueil.
La personne âgée ne doit pas avoir de lien de parenté avec l’accueillant familial, elle doit être valide ou avoir une perte d’autonomie compatible avec l’accueil familial. Aussi, il peut être intéressant d’utiliser une solution technologique pour assurer la sécurité de la personne âgée, tout en laissant une certaine autonomie autant pour l’accueillant que pour la personne âgée. En effet, la Fragilité le risque de chute de la personne âgée doit être prise en compte.
Étudiant logé chez un senior
Il s’agit, pour la famille de la personne âgée, de proposer à des jeunes, des étudiants ou des apprentis, une chambre contre une présence et services chez leur parent âgée.
Cette formule présente de nombreux avantages. La personne âgée peut rester chez elle avec plus d’autonomie. Cette cohabitation permet de rompre l’isolement de la personne âgée ce qui contribue à la maintenir dans une meilleure santé générale et psychique.
De plus la cohabitation étudiant / senior permet de retarder le placement en maison de retraite et de rassurer la famille par sa présence physique.
Concernant la surveillance de la personne âgée face au risque de chute, l’étudiant peut faire partie de la liste des aidants. , voir même être le premier aidant à être alerté en cas de chute ou de malaise de la personne âgée.
En effet, si la personne âgée est équipé d’un système de surveillance pour senior, soit un système à bouton SOS simple, soit un système à détection de chute automatique, l’étudiant reçoit l’appel téléphonique et peut parler à la personne âgée et prévenir la famille ou faire intervenir les secours.
Pour l’étudiant aussi cette formule est très intéressante. En effet, elle permet à l’étudiant de trouver un logement plus facilement, souvent très bien situé à proximité de commerce et transport, et à moindre cout que s’il était en location simple.
De plus, la présence d’une personne âgée est généralement calme et riche en échanges interpersonnels. Cela convient aux deux parties.
Dans une formule logement contre service, il est important de signer une convention. La personne âgée fournit une chambre indépendante avec le confort nécessaire. L’étudiant de son côté s’engage sur des horaires et services apportés.
Avec la publication de la Loi Elan fin 2018, il est désormais possible de signer un “contrat de cohabitation intergénérationnelle solidaire”.
Collocation senior étudiant en EPHAD
Il existe de nombreuses solutions pour gérer le vieillissement de la population et la collocation intergénérationnelle en EPHAD en est une très intéressante.
France 3 region nous informe que des chambres étudiantes sont disponibles dans les EHPAD de Montpellier pour la rentrée universitaire. Cette opportunité a été initié par le CCAS (centre communal d’action sociale) de Montpellier.
Cette collocation étudiant et senior a pour but de lutter contre l’isolement des seniors et la précarité des étudiants. En effet, des étudiants peuvent ainsi trouver leur logement dans une chambre dans un EHPAD.
La collocation étudiant et senior a été mise en place en 2018. L’étudiant s’acquitte d’un loyer d’environ 180 euros et consacre 3 heures de bénévolat par semaine au profit des personnes âgées logées dans l’EPHAD. Le bénévolat consiste à proposer des ateliers visant à améliorer la vie de seniors.
La sélection des étudiants est donc fortement liée à la fois à leur études mêmes et de leur motivation à proposer des projets visant à créer du lien avec les résidents.
Cette organisation est vraiment très intéressante quand on mesure l’importance du vieillissement de la population. en particulier quand cela touche la santé et la sécurité des seniors.
La ville de Montpellier a été récompensée par un prix Territoria Or ce projet de colocations étudiantes en EHPAD.
C’est un vrai projet solidaire pour les seniors et créatif pour les jeunes. L’étudiant peut proposer l’activité de son choix et l’animer comme il le souhaite. Par exemple, une étudiante anime un « atelier Skype » pour permettre aux résidents de garder un lien même virtuel avec leur famille, un autre anime une « séance ciné » tous les dimanches.
Entre 2023 et 2030, l’opérateur Orange en charge de l’entretien des lignes en cuivre du réseau de téléphone fixe arrêtera progressivement les services puis l’entretien des lignes téléphoniques du réseau cuivre.
Maintien des lignes téléphoniques
Quelque soit l’opérateur c’est toujours l’opérateur Orange qui en charge de l’entretien des lignes en cuivre du réseau de téléphone fixe. L’arrêt de ce support pose problème et en particulier pour les personne âgées pour qui c’est le seul lien.
C’est ainsi qu’à Wierre-Effroy des personnes âgées non reliées à Internet et qui ne possèdent pas de téléphone portable, certaines sont bénéficiaires de l’aide personnalisée aux adultes handicapés parfois âgées de plus de 85 ans ou reliées à un système de téléalarme qui du coup ne peut plus être joint.
Il en est de même dans le petit village de Sainte-Gauburge-Sainte-Colombe (Orne), suite à un accident qui a arraché la ligne, une habitante de 96 ans est coupée du monde. C’est un drame quand le téléphone est le seul moyen de communication d’un senior qui vit seul pour garder contact avec sa famille et les services médicaux. De plus, le système d’alerte porté pour donner l’alerte en cas d’urgence ne peut plus fonctionner.
Les cas sont malheureusement nombreux et ces personnes âgées n’ont plus ni téléphone ni internet. C’est la cas de cette octogénaire bretonne encore privée de téléphone.
Arrêt du téléphone fixe
Depuis le 15 novembre 2018, le processus d’extinction duréseau téléphonique commuté RTC est en route : un jour nous ne pourrons plus utiliser notre téléphone fixe.
Il est connu sous le nom de RTC : réseau téléphonique commuté. Il a été inventé à la fin du XIXe siècle et déployé par France Télécom dans les années 1980.
Sui-je concerné ? Regardez si votre téléphone fixe est branché sur la prise téléphonique murale de votre logement par une prise T. Si votre téléphone est déjà branché sur une box, vous n’aurez rien à changer. A terme, le téléphone sera obligatoirement branché sur une box internet.
Le réseau RTC est difficile et couteux à entretenir. Il est de moins en moins utilisé. Il a donc été décidé de le basculer vers l’IP, un protocole international plus moderne, plus simple et plus performant.
A partir de 2023, les premières lignes RTC arrêteront de fonctionner. Les personnes concernées seront alors contraintes de basculer vers une technologie IP si elles veulent continuer à utiliser un téléphone fixe et ainsi jusqu’en 2030.
Qu’en est-il de l’alarme personne âgée raccordé à un téléphone fixe ?
Pour nos clients équipés de montre alarme anti-chute ou bracelet d’urgence SOS la question se pose de savoir s’il pourront toujours utiliser leur alarme ?
La réponse est OUI.
En effet, contrairement à certaines solutions qui ne fonctionnent qu’avec le RTC, la solution proposée ICI fonctionne soit en RTC (avec la prise en T) soit en IP (avec la prise téléphonique en sortie de box internet.
Ainsi, nos clients qui utilisaient une alarme personne âgée avec la base téléphonique SOS peuvent conserver leur alarme senior quand ils passent du RTC et téléphone via la box internet.
Cette question se pose également pour les personnes âgées qui choisissent d’entrer en EPHAD ou qui choisissent la solution personne âgée en famille d’accueil. En effet, il est tout à fait possible d’emporter sa solution d’alarme personne âgée en EPHAD ou en famille d’accueil. SI l’établissement ou la famille d’accueil ny voit pas de soucis, l’alarme étant compatible avec les deux technologies, l’ancienne ia RTC et la nouvelle via internet, il est toujours possible de garder son équipement de sécurité.
Les solutions alarme personne âgée
Certains client âgée choisissent de s’équiper d’une alarme autonome, le Bracelet anti chute sans abonnement, pour s’affranchir du problème de l’arrêt des lignes de téléphone fixe par Orange. Cet équipement leur permet d’être sécurisés également lors de leur sorties. D’autres qui ne sortent pas choisissent le Bracelet anti chute de maison et pour ceux qui sont déjà connecté avec une box internet, de plus en plus doublent cette surveillance avec une caméra pour senior qui permet de garder un contact visuel. Avec cette caméra, la famille peut s’assurer que tout va bien sans déranger la personne âgée.
Principales solutions de sécurité proposé par LA VIE DOUCE
Sécurité d’une personne dépendante
Comparatif alarme senior et surveillance
Nous proposons un grand choix d’équipement de qualité, fiable et simple à mettre en place et à utiliser.
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